Solution Précarité Suisse
Détaillé
1. S U J E T
2. I N F O S ( détaillées ) 3. S O L U T I O N 1 ( détaillée )
4. S O L U T I O N 2 ( détaillée )
5. C O N C L U S I O N
1. S U J E T
2. I N F O S + ( résumées ) 3. S O L U T I O N 1 ( résumée )
4. S O L U T I O N 2 ( résumée )
5. C O N C L U S I O N
SUJET - QUI SUIS-JE ? (Devinette)
Indices
engendrées à la société, et ponctionnées sur les impôts des contribuables.
La loi m'inflige une dette, qui régulièrement est revue à la hausse,
car des millions de personnes veulent me faire payer mon incompétence.
Je suis restreint à vivre avec un strict minimum,
sous surveillance de toutes éventuelles rentrées financières qui me sont automatiquement retirées.
Je suis devenu un individu contrôlé très strictement,
devant me justifier et rendre des comptes tant sur le plan professionnel que privé.
Je dois bénéficier d'autorisations spéciales pour quitter mon domicile,
cela pour toutes périodes supérieures à 48 heures.
J'ai perdu mon droit à la protection de données tenues sous secret professionnel,
où des renseignements personnels peuvent être obtenus sans ma procuration.
Une société d'inspection spéciale à même été mise sur pied,
autorisée à enquêter sur ma situation à tout moment.
Menacé de sanctions, la loi peut même me retirer le droit à la dignité,
fondement du droit constitutionnel suisse, cela si un écart à des règles strictes est constaté.
Ma propre responsabilité est par déduction jugée très sérieuse,
car les oppressions matérielles et psychologiques mentionnées sont, elles, très sérieuses. Réponse
Non, je ne suis pas un criminel.
Je suis même un être inconnu et honnête, mais traité comme plusieurs centaines de milliers en Suisse, car je n'ai pas réussi à retrouver un emploi après une période de chômage, et d'où par nécessité pour juste survivre, je bénéficie de l'aide sociale, mais aussi de toutes les discriminations qui en découlent ..!
Selon mesures cantonales / BE · 2016
INFOS
Places de travail limitées
Les méthodes de contrôle oppressives, ainsi que les mesures d'insertion professionnelle, qui varient selon les villes et cantons, renforcent toujours l'idée mensongère que l'incompétence des assistés est la cause des dépenses de l'aide sociale. Alors que pour toute personne qui sait compter, les places de travail existantes sont à l'évidence limitées. Sauf exception, la preuve en est que toutes les places de travail libérées ou crées sont rapidement occupées et que toujours des centaines de milliers d'individus sont sans emploi.
- Env. 210 000 chômeurs*
- Env. 360 000 bénéficiaires de l'aide sociale*
- ? personnes vivant avec moins que le minimum vital
- ? personnes SDF ( sans domicile fixe )
Proportionnellement à la population active évaluée à 5.1 millions*, le taux des personnes mentionnées ci-dessus est supérieur à 10 %, et s'élève donc dans certaines villes à plus de 20 %.
Propre responsabilité relative
Je ne rejette en rien ma propre responsabilité de me retrouver sans emploi, mais également à celui qui ne réussit pas à s'asseoir au fameux jeu d'enfants de la chaise musicale. Toutefois, compte tenu des places de travail limitées, je ne peux supporter que l'on s'obstine à me rendre responsable de la chaise manquante, et cela quel qu'en soit les arguments prétextés.
Abus de certains Argument 1
L'argument principal d'appliquer une politique oppressive au sein des services sociaux est l'abus de certains individus recevant des prestations dont ils n'ont pas besoin. Toutefois, jusqu'à preuve du contraire, il ne semble pas y avoir un taux d'individus profiteurs plus important chez les personnes sans emploi que dans n'importe quel autre milieu social ou professionnel. Pourtant, il semble tout normal et justifié, d'appliquer aux bénéficiaires de l'aide sociale, humiliations et discriminations, affectant ainsi une globalité d'individus honnêtes.
Economies Argument 2
Selon l'OFS*, l'ensemble des dépenses consacrées à l'aide sociale, infrastructure et employés inclus, représente environ 1,3 % des dépenses sociales globales. Sachant cela, il me semble d'autant plus ahurissant de vouloir faire des économies sur le dos des bénéficiaires de l'aide sociale, ceux pour qui s'habiller, se soigner et se nourrir suffisamment, est dans le meilleur des cas, à la limite du possible. De plus, il n'est pas à négliger, que la totalité des dépenses faites aux bénéficiaires de l'aide sociale, sont par les bénéficiaires eux-mêmes, redistribuées chaque mois auprès des entreprises, magasins et commerces locaux, et qu'elles sont donc comme bien d'autres dépenses, sans pertes pour l'économie du pays.
Eviter de léser des travailleurs Argument 3
Un autre argument pour serrer la ceinture des bénéficiaires de l'aide sociale au strict minimum vital, est d'éviter au maximum qu'un travailleur mal payé se sente comparativement lésé. Mais dans un monde où les bienfaits de l'automatisation remplacent les postes de travail lucratifs, et où sans aucune limite des milliards sont autorisés à être bénéficié individuellement, il serait peut-être plus approprié pour tendre à un minimum d'équilibre et de «répartie», d'établir enfin un salaire minimum, et de pouvoir ainsi concéder aux bénéficiaires de l'aide sociale un petit lâché de lest. Car pour l'instant la réalité est que les 360 000 bénéficiaires de l'aide sociale*, sont par leur reçu correspondant au minimum vital, tenus le nez hors de l'eau, mais maintenus fermement et en tous sens à cette limite.
Solidarité collective avec dette à vie
Les chômeurs, réfugiés, retraités et invalides méritent aussi de vivre dignement. Bien heureusement dans notre pays, pour subvenir à leurs besoins vitaux, tous bénéficient de financements inclus dans les dépenses sociales globales, par le biais d'impôts, d'assurances ou autre, ce qui est toujours une forme de solidarité collective. Mais pour les bénéficiaires de l'aide sociale, cette solidarité collective est à payer par une politique très oppressive, au point ahurissant que les sommes qui leur sont octroyées pour leur survie, représentent dans la grande majorité des cantons une dette à vie, soit une dette à vie pour celui qui peine déjà à remplir son frigo.
Durcissement des sanctions
Pour les bénéficiaires de l'aide sociale qui donc vivent avec le minimum vital, il est notamment dans le canton de Berne, strictement interdit de bénéficier du gain d'un petit travail, car pour déduction des prestations, même un cadeau tel qu'une paire de souliers pour passer l'hiver, est à indiquer. Et avec le renforcement du code pénal suisse du 1er octobre 2016, si un simple cadeau est remarqué comme non déclaré, le service social se doit obligatoirement de déposer une plainte auprès du ministère public, et que la condamnation incombe donc systématiquement aux tribunaux.
Perdre le droit à la dignité
Le droit à la dignité humaine, est un fondement du droit constitutionnel suisse, établi pour que chaque citoyen puisse notamment bénéficier d'un minimum vital matériel. Pourtant, autant essentiel qu'il soit, ce droit à la dignité, peut être abrogé, supprimé au bénéficiaire de l'aide sociale, si celui-ci ne répond pas soumis aux aberrances administratives. Car le bénéficiaire de l'aide social, peut véritablement au moindre désaccord ou à la moindre mésentente, perdre son Droit à recevoir le minimum vital.
Atteinte à la personne
Selon l'OFS*, une durée prolongée de chômage peut, par effet d'un appauvrissement ou d'une exclusion sociale, avoir une incidence sur la santé. Alors il va de soi, qu'en plus d'un appauvrissement réduit au minimum vital et d'une exclusion sociale, subir d'humiliantes oppressions sous la menace de pouvoir en perdre son Droit à vivre avec dignité, peut d'autant plus porter atteinte à la personne, et même l'en affecter sévèrement, tant sur le plan psychique que physique.
Casquettes bien vissées
Face à une politique où la dignité de celui qui bénéficie de l'aide sociale est toujours plus compromise, il pourrait être justifié de crier sur un/e assistant/e social/e, qui comme aveuglé/e par la casquette de son précieux emploi, se permet d'appliquer de très violentes discriminations, en se justifiant être conforme aux directives de ses supérieurs hiérarchiques. Mais surtout, rien de cela n'est à faire, car les conséquences seraient promises plus contraignantes encore, et que les assistants/es font toutefois souvent de leur mieux.
Politiciens bien intentionnés
Et à propos de ceux qui peut-être dorment de confort en pensant et en soulignant grassement, qu'il faut appliquer, voir même endurcir, une politique oppressive envers les bénéficiaires de l'aide sociale. S'ils ne sont pas des êtres ignobles, c'est qu'ils n'ont vraiment pas conscience des souffrances de celles et ceux qui en supportent les conséquences. Car pour survivre, les bénéficiaires de l'aide sociale qui subissent les coups d'humiliantes discriminations, sont comme sur un fil, maintenus sous une menace sérieuse, celle qu'un moindre faux pas, peut véritablement les faire tomber au plus profond de la précarité, là où le fondamental droit à la dignité humaine, n'existe simplement plus.
Injustices autorisées
Ces injustices sont appliquées, et même autorisées par un processus peu commode mais bien rôdé. Car chaque personne faisant appel à l'aide sociale, est d'entrée soumise à la condition de signer un accord de consentement. Concrètement, à celui qui est dans l'urgence matérielle vitale, et qui souvent en est déjà plongé dans une honte silencieuse, lui est offert par les services de l'aide sociale, un choix simple et radical :
A. Accepter une aide matérielle qui garantit le minimum vital, mais en se résignant sans condition, à signer un contrat dont les clauses incluent d'accepter de subir sous différentes formes, diffamations, humiliations et discriminations.
B. Renoncer à son droit à la dignité, au risque d'en perdre son domicile et son frigo.
Et le comble est que cette pratique violente et lourde de conséquences, mais si bien tissée d'arguments, et enrobée de politesse, se présente même comme être juste, appropriée et anodine. Pourtant nulle personne honnête, tout âge et milieu social confondus, n'estimerait justifiable à y être personnellement soumis, et cela quels qu'en soient les arguments.
Se résigner à l'indignation
Sous tant d'indignations maintenues par un système administratif étatisé, il semble bien difficile pour un pauvre et démuni de s'en défendre à forces égales. Subjugué, je me demande combien, parmi les 360 000 êtres qui bénéficient de l'aide sociale*, finissent par se résigner à vivre sans plus agir, en silence et dans l'ombre d'une peur grandissante ? Et combien sont-ils encore, à avoir déjà perdu leur droit à la dignité, soit, d'avoir sous l'effet de discriminations, tout perdu, réduit à une vie sans même de toit ? Et je n'ose presque pas me demander, combien d'êtres honnêtes, victimes sous tant d'indignations, sont-ils déjà tombés à sombrer plus bas encore ..?
Résolution d'urgence
Vu que notre marché de l'emploi ne réussit pas à couvrir les besoins de tous, et que personne n'en est plus responsable que quiconque, il serait temps d'épargner violence à ceux qui en sont déjà victime. Sans oublier que libérés du regard social au jugement diffamatoire, ce sont des êtres par grands nombres, qui hors de l'ombre, seraient certes bien mieux disposés à vivre avec plus d'enthousiasme, pour œuvrer par simple dévouement au bien d'autrui, dans leurs environnements proches ou lointain, et donc communément aussi pour le bien de l'ensemble de la collectivité. ( Solution 2 )
Mais sans même tenir compte de ce fait, si juste par bon sens, nous souhaitons vivre ensemble dans un pays où le fondamental droit à la dignité soit respecté pour tous, et que la misère quelle qu'elle soit, puisse dans la mesure du possible, être épargnée par la beauté de la solidarité collective, il est urgent d'accorder aux bénéficiaires de l'aide sociale un véritable respect. Car de violentes oppressions sans cesse endurcies, fondées d'arguments erronés, et portant véritablement préjudice à la personne - morale, psychique, et parfois même physique - pourraient chaque année, être épargnées à des centaines de milliers d'individus respectables.
Et au sein de notre pays qui est considéré être l'un des plus riches au monde, l'ampleur négative de l'oppression sociale actuelle est non seulement époustouflante, mais inacceptable. Car il s'agit d'environ 360 000 bénéficiaires de l'aide sociale qui en subissent directement les conséquences. Car il s'agit de chômeurs et de travailleurs qui craignent à devoir mettre eux aussi, un jour et par nécessité, pieds dans cet abîme social violent et dégradant. Car il s'agit encore et au comble de tout, d'êtres humains toujours plus nombreux, victimes et exclus de notre système social oppressif et indigne, abandonnés tels de tristes chiens, au point d'errer avec pour seul refuge que la misère de la rue.
* Données établies par l'OFS : Office fédéral de la statistique · 2022 / 2023
SOLUTION 1
Création d’une vue administrative globale / objective !
Espoir
Mais comment garder espoir, comment changer le regard de mon assistant/e social/e, comment changer les objectifs économiques de ses supérieurs hiérarchiques ? Et donc, comment changer les fondements même de notre système social, où chacun est focalisé dans sa tâche administrative qui semble lui permettre l'ignorance de ses terribles conséquences ? Un «revenu de base inconditionnel» aurait-il pu résoudre les problèmes plus largement encore ? La question reste ouverte et les avis encore très partagés. Mais avant même qu’une forme ou une autre d’un éventuel bouleversement se réalise, le chemin de la solution proposée ici est pourtant très simple !
Lumière sur deux réalités
En effet, pour résoudre l’ensemble des problèmes décrits, il suffirait que deux réalités cessent d’être ignorées, et apparaissent enfin comme deux évidences au sein des administrations. Et il s’agit des deux réalités suivantes :
1. ► Les places de travail existantes sont limitées ! ( A l'image du jeu de la chaise manquante )
2. ► Les ressources financières des cinq caisses sociales, dépendent toutes de la solidarité collective ! ( Chômage, invalidité, aide sociale, retraite et caisse de compensation )
Avec ces deux vérités intégrées au sein des administrations, chacun comprendrait que ni la performance des individus, ni leur déplacement d’une caisse à une autre ne permet de faire des économies du point de vue global. Et donc, cette illusion de faire des économies ne pourrait plus être l'argument mensonger pour encore infliger des violences, sans cesses et sans scrupules.
AJOUTER · UNE CAISSE CENTRALE
Une solution simple et efficace
Créer une vue administrative globale au centre des cinq caisses sociales !
( Chômage, invalidité, aide sociale, retraite et caisse de compensation )
( Chômage, invalidité, aide sociale, retraite et caisse de compensation )
A l'image d'une tour panoramique, créer en supplément une caisse centrale pour offrir une vue globale de la gestion financière des cinq caisses sociales. Le principe n’implique pas d’unir les revenus et les dépenses, mais simplement de rapprocher les principaux bureaux de comptabilité, sous un même toit, sous une même direction. L’infrastructure générale, de même qu’un financement différencié, pourraient demeurer inchangés en chacune des caisses.
Ainsi, que par cette vue administrative globale, les non-sens de la part des caisses sociales, à faire des pressions petites ou extrêmes, pour finalement que déplacer des dépenses à gauche ou à droite, deviendraient aussitôt une évidence en toute la hiérarchie. Et donc toutes les contraintes, les violences, les humiliations seraient aussitôt abandonnées, pour ainsi laisser place à une dignité véritable et pour tous.
Avantages considérables pour tous
1. Grandes économies
Les économies faites seraient considérables, de par une partielle centralisation, mais surtout parce que les coûts énormes de ces petites guerres, faites au sein des caisses, de pressions et d'oppressions, d'analyses controversées ou lacunaires, par des procédures administratives, médicales, et juridiques, parfois interminables, seraient souvent évités. Et ce serait donc d’énormes sommes ... d’énergies humaines et de temps, qui pourraient réellement être économisées, pour être à la préférence de tous, consacrées en des causes plus constructives. ( Solution 2 )
2. Solidarité et dignité
Créer pour tous, un terrain et un climat social plus unis, plus humains, car de très injustes pressions, oppressions et discriminations faites par de nombreuses caisses, telles que celles représentées par les Indices cités, seraient chaque jour évitées à des centaines de milliers d'individus. De ce fait, cela favoriserait fortement un sentiment de dignité pour tous, dans l'ensemble de la collectivité, personnes sans emploi et travailleurs unis :
- 210 000 au chômage*
- 360 000 à l'aide sociale*
- 450 000 à l'assurance invalidité*
- 1 700 000 à la retraite*
- 5 100 000 de travailleurs* ( dont certains vivent au-dessous du minimum vital, dont la plupart sont tenus en haleine de tomber dans la tourmente d'une prestation sociale opprimante et discriminante, et dont tous en subissent des coûts inutiles ).
- 360 000 à l'aide sociale*
- 450 000 à l'assurance invalidité*
- 1 700 000 à la retraite*
- 5 100 000 de travailleurs* ( dont certains vivent au-dessous du minimum vital, dont la plupart sont tenus en haleine de tomber dans la tourmente d'une prestation sociale opprimante et discriminante, et dont tous en subissent des coûts inutiles ).
* Données établies par l'OFS : Office fédéral de la statistique · 2022 / 2023
SOLUTION 2 (Complémentaire)
Création de plusieurs 100 000 nouveaux emplois salariés éco-responsables !
Ici, il ne s'agit pas d'aider les sans emploi comme des soit-disant faibles,
mais de porter équilibre à un système socio-économique et écologique défaillant !
Simplement, par la création d’un - Terrain Socio Eco Logique ( T S E L )
EN BREF
Unir deux gigantesques problèmes = SOLUTION GLOBALE
______________________________________________________________________
Problème 1 Manque d’effectif pour des actions sociales et écologiques
Au sein de notre pays, des centaines de sociétés, d’associations ou autres, sont investies dans des actions sociales ou écologiques, et pour des causes parfois urgentes. Mais la plupart d’entre elles sont en manque de moyens pour bénéficier d’actions humaines.
Problème 2 Manque d’activité chez des centaines de milliers d’individus
Au sein de notre pays, des centaines de milliers d’individus bénéficient du chômage ou de l’aide sociale. De ce fait, énormément de potentialités, d'énergies, d'élans, de synergies, de solidarités, de partages, et de dévouements, sont mis en marge. Et la plupart de ces personnes souffrent elles-même de réinsertion que provisoire, de mise à l’écart, d’isolement, de précarité, et de discrimination. Beaucoup d'entre elles souhaiteraient un réel engagement, et surtout pour de bonnes causes !
S O L U T I O N Réunir les uns avec les autres pour le bonheur de tous
Fonder un bureau d’engagement conventionnel, qui réunit les personnes morales d’actions sociales et écologiques, avec celles qui sont dans une situation de sans emploi qui perdure et qui souhaite s'engager en toute liberté pour un emploi stable.
Le financement des salaires et des charges, serait fait sur l’économie des prestations, de chômage, de l’aide sociale, de même que celles des mesures d’occupations ou de réinsertions provisoires, et encore sur toutes les formes d’oppressions administratives très coûteuses, qui seraient alors épargnées.
Bref, il s’agit d’une solution simple, pour résoudre de très gros problèmes, pour combler des besoins importants, sociaux et écologiques, et en plus, pour créer des centaines de milliers de nouveaux emplois salariés éco-responsables, et le tout sans surcharge économique. C’est l’ensemble de notre pays, de notre société, de même que la nature, qui en serait comblé !
Pourquoi attendre ?..
Cette proposition est largement inspirée par les projets suivants :
___________________________________________________
> RTN / Revenu de Transition Écologique / Zoein - Sophie Swaton
CONCLUSION
Au nom du peuple
Par ces deux solutions complémentaires, simples, réalistes et même économiques, ( ou par une meilleure encore ), il est urgent, que le système social, créé et financé par et pour les citoyens, soit fidèle à ses fondements, et que le droit à vivre avec dignité - la garantie promise à tous les citoyens de notre pays - devienne enfin la réalité.
Une décision de toute importance est donc à prendre au sein politique, car personne ne veut d’une dignité sur un fil tendu de menaces administratives, sous des conditions de violence et d’humiliation, et prêt à être rompu au moindre faux mouvement. Car il s’agit de citoyens par centaines de milliers, de nos voisins, de nos proches, car il s’agit de leur existence, de leur santé, de leur équilibre, de leur frigo et de leur toit, et parfois même dans l’ombre et l’indifférence, il s’agit du fil de leur vie.
Agir maintenant
A nous de choisir, maintenant, car il est temps de créer demain tel que nous le souhaitons aujourd'hui, pour chacun de nous, pour nos enfants, pour la nature, et peut-être même pour de nombreuses générations futures, afin que le droit de vivre avec dignité soit en tous, avec compassion, au sein des pauvres, comme au sein des ultra-riches.
Alors si votre coeur, votre objectivité, résonne aussi par ces notions, votre simple partage, comme toute autre option de soutien, est très vivement recommandé !
Merci pour votre lecture !
ID-Association
Biel / Bienne, 2024